Le rapport au temps : quand il peut être source de stress, d’angoisse ou de dépression…


Quel rapport au temps avons-nous ?

J’aime bien avec mes clients leur faire faire une petite expérience sur leur relation au temps.
Ca ne dure pas longtemps, et il y a souvent des prises de conscience.
Il s’agit simplement de leur faire créer leur ligne du temps : passé, présent et futur avec trois post-its. Je pose moi-même celui du présent, et ils doivent ensuite poser les deux autres sur une ligne imaginaire. C’est fascinant de constater à quel point personne n’a la même représentation et perception du temps. Certains vont poser le passé touche à touche avec le présent, d’autres au contraire très loin, d’autres vont laisser un petit espace entre le présent et le futur alors qu’ils en laissent un énorme pour le passé ou vice versa. Je vous assure que ça leur parle ! Surtout quand j’arrive avec mes questions pénibles pour en comprendre et saisir leur représentation.




Mais ce test n’est pas très représentatif de grand chose… Car en réalité, certes notre rapport au temps est différent de celui des autres, mais il est aussi différent selon le contexte et des tas de facteurs internes et externes du moment présent qui l’influencent et donc affectent notre perception et notre ressenti.


influence interne : 

  • notre âge 

  • nos capacités (liées à l’âge)

  • la qualité de notre sommeil (pour consolider la mémoire qui nous aide à nous situer dans le temps)

  • nos émotions, notre degré d'intérêt et d’attention ou de distraction envers une activité

  • notre état de santé, nos rythmes physiologiques, les variations de température corporelle, sécrétion d'adrénaline…

  • nos comportements (façon dont on “remplit” le temps) 


influence externe : 

  • l’expérience elle-même (découverte et apprentissage)

  • l’environnement

  • notre culture

  • stimuli extérieurs

  • ...


Le temps ressenti est relatif et subjectif. 

Il y a des secondes qui s’éternisent et des heures qui défilent à toute vitesse alors que le temps universel (celui défini par la synchronisation de toutes les horloges atomiques du monde et qui permet d’avoir une même trame temporelle partout sur la planète) reste le même… Cette temporalité “artificielle” nous permet de ritualiser et d’avoir la sensation que notre vie est bien ordonnée et nous permet de coordonner et organiser nos relations humaines. Mais au fur et à mesure de l‘histoire de l‘humanité, si comptabiliser le temps a permis de mettre de l'ordre dans nos relations sociales et le travail, et dans les affaires administratives et fiscales, plus on arrive à mesurer précisément le temps, plus certains ressentent une entrave à leur liberté : avoir le train de 06h48 pour pouvoir pointer au travail à 07h30 tapante et attendre midi pile pour manger… Pourquoi ne pas manger quand notre estomac nous le dicte ?


Et je ne peux donc pas parler du temps sans parler de notre horloge interne (cycle circadien qui est supérieur à 24 heures), qui elle se synchronise tous les jours sur la temporalité naturelle (alternance de la lumière et de l'obscurité avec le jour et la nuit, les saisons…) mais que l’on met à mal avec la lumière artificielle (en faisant les 3-8, en regardant son téléphone ou la télé le soir…) en troublant notre perception jour/nuit. Les troubles du sommeil apparaissent alors.


L‘humain est un être temporel pour qui il est difficile de se projeter au-delà de sa propre vie et le temps est un des facteurs qui peut nous soumettre à la peur, au stress, à l‘anxiété, à des phobies, à des angoisses, à la panique, au surmenage et que sais-je encore…

Le stress est en quelque sorte la somme des réactions provoquées par la peur.

Le temps nous impose donc des ressentis et des émotions. 




Voici cinq choses (entres autres) qui nous pourrissent la vie : 


  • Ah mince, je vais mourir un jour !

Eh oui, même si notre monde actuel capitaliste et son marketing chéri font tout pour nous le faire oublier afin de consommer toujours plus (des fois que ce soit important dans la tombe), une partie de nous sait très bien que notre séjour ici est limité, et ça nous fait peur. Alors on pense à autre chose (par exemple on consomme !), mais… Ce qui est refoulé revient. Bonjour les angoisses. 

Alors dans cette limitation de temps qui nous est accordée, on a une infinité de projets que l’on veut réaliser avant que la fin ne sonne. Remplir le plus possible les agendas… Compresser le temps en vivant deux fois plus vite pensant vivre deux fois plus en faisant deux fois plus de choses…Et si seulement nos supers technologies nous faisaient gagner encore plus de temps !

Et bien non, mauvaise idée : c’est parce que nous savons que nous ne pouvons pas vivre tout ce que le monde a à nous offrir que nous vivons à ce rythme effréné. Ce rythme qui nous stresse. La pression du temps.


Dans un super documentaire (désolée pour le jugement de valeur) sur Arte.tv “Qu’est-ce que le temps ? Une énigme sans fin, on comprend très bien que plus nous avons des technologies rapides, plus on court, plus on stresse, alors même que l’objectif était de nous simplifier la vie et de repousser les frontières spatio-temporelles. Notre perception est ainsi faite : nous allons toujours plus vite, nous gagnons de plus en plus de temps (de trajet par exemple, de communication…) et il nous semble qu’on en a de moins en moins. Non ? 

Idem de notre patience.


  • Notre fabuleuse machine à voyager dans le temps !

Dans ce même reportage, Dean Buonomano, neurobiologiste et psychologue nous fait part de sa vision de la mission de notre cerveau :

“Nous vivons toute notre vie en fonction de la capacité de notre cerveau à se baser sur le passé pour prévoir l’avenir. [...] Je suis convaincu que l’une de nos plus importantes fonctions cérébrales est celle qui consiste à utiliser le passé (la mémoire) pour mieux prévoir et préparer l’avenir. Il s’agit pour moi de la mission suprême du cerveau : c’est une machine à prévoir, une machine à voyager dans le temps”.

Bon, du coup, c’est aussi ce qui nous fait prendre conscience qu’on va mourir…

Et c’est ce qui nous permet aussi d’avoir une focalisation davantage sur le passé pour certains (le rétroviseur de la nostalgie et de la mélancolie), pour d’autres sur l’avenir (le pare-brise de la peur de l’inconnu, et donc du stress et de l’angoisse), et pour d’autres encore sur le présent (ceux-là ont l’avantage s’ils le souhaitent de pouvoir bénéficier à bon escient à la fois du rétroviseur et du pare-brise pour avancer sereinement).

Pssst :  c’est aussi grâce à cette machine à voyager dans le temps que nous pouvons agir en PNL ou en hypnose !!! Donc si vous vous reconnaissez, votre cerveau vous offre aussi les solutions et les ressources pour le changement. Avec le temps, tout est éphémère : le présent est le passé du futur n'est-pas ?


  • Le temps, c’est de l’argent !

Une belle croyance n’est-ce pas ? Vous la trouvez aidante ou limitante ?
Elle est tellement ancrée dans notre culture ! La même qui nous dicte qu’il ne faut pas “gaspiller” le temps (sous-entendu le peu qu’on a sur cette terre, nous simple mortel !). Mais c’est quoi au juste “gaspiller le temps” ? Qui peut en juger ?
Nous avons une multitude de croyances relatives au temps. Et bon nombre ne viennent même pas de notre propre expérience…  Les identifier et les remettre en cause peut être fort utile ! Sans jugement, interrogez-vous sur leur origine : “qui dit ça ?”


  • “Je n’ai pas le temps…” ou comment trouver un alibi

 L’homme est un être temporel ET social. Peu importe leur problématique initiale, il est fréquent que mes clients déplorent la pauvreté de leur vie sociale.Ils en sont insatisfaits, mais, voyez-vous, ils n’ont pas le temps ! Du moins, c’est ce qu’ils me disent de prime abord.
En PNL, nous utilisons constamment la pyramide des niveaux logiques de Robert Dilts.




L’environnement, le premier niveau, est souvent une bonne banque à alibis ! “C’est loin”,” c’est cher, je n’ai pas les moyens”,” je n’ai pas le temps”… Et en PNL, on adoooooore creuser. Parce que l’on sait que la déresponsabilisation est facile, et que les raisons profondes de faire ou ne pas faire quelque chose se trouve à un niveau de la pyramide bien supérieur. Il est plus facile d’accuser le temps, cette notion vague qui peut être considérée comme une chose, plutôt que d’être honnête avec soi-même ou les autres. 

Et donc, en explorant les motivations profondes d’évitement d’une vie sociale satisfaisante, on finit par tomber par exemple sur du manque de confiance en soi (capacité) et des croyances identitaires du type “je n’ai rien à apporter, je suis nul par rapport aux autres, je ne suis pas intéressant….”. 

Alors, vous n’avez vraiment pas le temps ? Don’t worry, on a de merveilleux outils pour remédier à cela !


  • Les réseaux sociaux et streamings qui se substituent aux relations et expériences fortes

Certes, ils ont l’avantage de faire passer le temps plus vite quand on s’ennuie, mais il y a un gros hic : malgré les nombreux stimuli qu’ils apportent, ile ne font aucune résonance en nous, c’est à dire qu’ils ne laissent pas de trace, de souvenir en profondeur de ces expériences puisque cette excitation est superficielle. Et nous avons alors le sentiment de ne rien avoir fait. Notre cerveau aime les expériences fortes, nouvelles pour les ancrer et nous aider à nous repérer dans le temps.


Ajoutez à cela un gros mauvais point de plus si vous les regardez dans votre lit avant de dormir. La fameuse lumière bleue qui nous décale notre horloge biologique !
Les troubles du sommeil ne sont pas à prendre à la légère : on peut entrer dans un cercle vicieux : si nos phases de sommeil paradoxal sont perturbées, notre perception du temps l’est tout autant. Le sommeil paradoxal sert à l’ancrage du mémoriel (contenu) qui nous permet d’envisager l’avenir (basé sur le passé - donc la mémoire). Le sommeil aide à consolider notre mémoire… qui nous aide à nous situer dans le temps… Oui oui, il y a de quoi devenir fou…



L’importance de nos expériences


Notre monde intérieur suit sa propre temporalité. Nos souvenirs, nos expériences, nos convictions ont des propriétés temporelles. 


Mon mari fait souvent cette démonstration aux enfants : il prend un décamètre et explique que c’est la frise du temps. Il commence à la naissance du soleil, aujourd’hui âgé honorablement de 4,6 milliards d’années. Puis ils développent les grands événements de la terre qui se déroulent sur des milliards d’années et donc des dizaines de décimètres (peut-on vraiment appeler cela des “événements” ?), puis l’histoire de la vie sur terre (la vie aquatique seule s’étend aussi sur des milliards d’années), puis la vie terrestre, étape par étape jusquà l’homo sapiens. Arrivé là, il ne reste plus beaucoup de longueur au ruban jaune (la fin du décamètre symbolise “aujourd'hui”). Il finit donc par la naissance de l’enfant jusqu’à son âge actuel. 


Sybil Anderl, astrophysicienne définit philosophiquement parlant le temps comme un phénomène très fortement lié à notre vécu, notre expérience humaine.

“Nous percevons tout à travers le prisme du temps. Tout ce qui se passe autour de nous, nous l’organisons autour d’un ordre chronologique.”


Notre vie est ridicule à l 'échelle du temps de l'univers. Mais ce n’est pas pour autant qu'elle doit être vide de sens.


Plus le temps est rempli ou plus nous avons d’éléments (stimuli) à traiter et analyser, plus on le perçoit court (rapide, accéléré), à l’inverse si l’on a peu de stimuli ou que l’on s'ennuie, le temps semble s'étirer (plus long, plus lent). Je me demande comment vous préférez le percevoir ! Quoi qu’il en soit, il s’agit souvent d’une alternance de ces perceptions.Mais nous pouvons agir pour vivre plus souvent notre meilleur ressenti dans notre rapport au temps.



Comment améliorer son rapport au temps pour qu’il soit plus confortable ?


  1. opération affirmation de soi

Vous ressentez parfois de la colère ? C’est naturel et normal. La colère exprime un message précis : un besoin non négligeable est attaqué, celui d’être respecté. Votre réunion s’éternise au-delà de vos heures de travail par exemple : les règles et le cadre ont été dépassés et vous allez en plus en subir les conséquences ! Courir pour aller chercher les enfants à la garderie…


Comptabiliser le temps, c’est s’organiser et fixer des règles.


Redevenez maître du temps, le maître de votre temps, et sortez ainsi de son esclavage. Faites-vous respecter (de manière juste et diplomate !) : faites respecter votre relation au temps


T’es mignonne Aurélie, mais comment je fais ça ????

Avec :
- une vision solide et claire de la vie que vous voulez mener

- des croyances aidantes qui vont faire s’évaporer vos croyances limitantes

- un brin d’assurance supplémentaire

- une belle confiance en soi

- des techniques de communication interpersonnelle efficaces et non violentes

(vous avez compris bien sûr que je peux vous aider à tout cela ;-)


  1. je prends des moments pour moi

Si vous avez l’impression que vos journées sont longues ou que vous n’avez rien fait (il peut arriver dans ce cas qu’on ait l’impression que la journée soit passée très vite), alors faites au moins une chose par jour qui vous passionne (ou par semaine selon l’activité) : 

  • c’est un biais cognitif qui donne l’impression que le temps passe plus vite, 

  • et ce qui nous passionne est plus facilement ancré dans notre mémoire, jouant ainsi sur notre mémoire qui elle-même influence notre perception du temps (avoir fait quelque chose dans la journée).


  1. Je fais une chose à la fois

Ça n'a l‘air de rien, et très bateau, mais faire une chose à la fois vous permet de vous immerger totalement dans l’expérience, procurant une meilleure satisfaction et un meilleur ancrage.. Et lorsqu’il s’agit d’un échange interpersonnel, votre  rapport sera de bien meilleure qualité. Donc, on est d’accord, on n’écrit pas un courriel pendant que l’on a une conversation téléphonique. La qualité plutôt que la quantité améliorera grandement vos relations !


  1. Je m’exerce à la pleine conscience

Ce qui rejoint le point 3. Si vous êtes particulièrement du genre à manger à votre bureau devant votre ordinateur, alors profitez de votre pause méridienne pour vous y exercer. Manger dans un endroit calme en pleine conscience : observer les couleurs du contenu de votre assiette, les goûts, les textures, sentez vos muscles en mastiquant, les sensations et peut-être émotions que ce repas vous procure (ça vous rappelle un plat de votre grand-mère par exemple), … Promis, vous concentrer pleinement sur ce moment vous déconnectera de tout le reste (de l’avant et de l’après) : c’est reposant, ressourçant, et votre corps vous offrira une meilleure digestion ainsi qu’un meilleur équilibre de votre horloge interne.


Marion Noulhiane, enseignante chercheuse en neurosciences, mais aussi apnéiste, définit ainsi le “Graal” de l’apnéiste :

“Avoir le sentiment du moment présent, vivre cette méditation, ce sentiment d’être connecté à soi-même et donc de ne plus subir cette ligne du temps qui nous attache les uns et les autres entre un passé, un présent et un futur.”

 

  1. Je pratique la cohérence cardiaque

Aussi appelé le 365, il s’agit de respirer avec une technique particulière pour obtenir une cohérence entre le rythme respiratoire, le rythme cardiaque et les barorécepteurs. Elle apporte de grands bénéfices sur le stress et ses conséquences.


La technique : Trois fois par jour, matin midi et soir, on inspire 5 secondes et on expire 5 secondes pendant 5 minutes. Pour en sentir les bienfaits,  la rigueur est de mise : tous les jours ! 

Il y a plein d'applis pour vous y accompagner, comme Petit Bambou par exemple que  j’aime particulièrement.

Pour en savoir plus, je vous invite à lire cet article très complet de Tania Lafore : La cohérence cardiaque : un outil pour votre sérénité


  1. Je liste au moins 3 choses par jour qui résonnent positivement

En redonnant de l’importance aux activités positives, que l’on n’arrive plus à remarquer parfois, vous aiderez à leur ancrage et diminuerez l’impact émotionnel des activités désagréables. Il y a toujours des belles choses dans une journée, même infimes soient-elles. relevées-les ! Réjouissez-vous de ce que la vie vous donne chaque jour.


  1. Je m’autorise une journée entière sans regarder l‘heure

Quel luxe de retrouver sa liberté ! Notre vie est souvent réglée à la minute près, surtout depuis le Covid et l'avènement des visioconférences. Alors faites un petit break de cette vie si ordonnée et minutée ! La philosophie taosïste fait l’éloge de la lenteur : penser et agir tranquillement. Profitez de cette journée pour changer de rythme.

”Il ne s’agit pas d’oublier le temps ou de le rejeter, mais de trouver une sérénité par rapport à lui” Maître Yuan Xiu Gang, moine Taoiste.


  1. Oui, mais moi je veux vraiment “remplir” le temps

Alors faites-le avec sagesse. Voici une métaphore bien connue en coaching bien-être : 

Si vous aviez 86400 euros à dépenser…tous les jours !

Imaginez que, chaque matin, une banque vous ouvre un compte avec 86400 euros !

Mais attention, il y a deux conditions à respecter pour en bénéficier.

  • Tout ce que vous n’avez pas dépensé dans la journée est perdu ! S’il vous reste de l’argent le soir, vous ne pourrez pas le virer sur un autre compte.

  • La banque a le pouvoir d’interrompre ces généreux versements sans préavis, à n’importe quel moment, elle peut vous dire que tout est fini. Elle ferme le compte à tout jamais et il n’y en aura pas d’autres !

Que feriez-vous ?

Cette banque magique existe-t-elle ? Oui, mais elle nous propose bien mieux que de l’argent : elle nous offre du temps ! Chaque matin, au réveil, nous sommes tous crédités de 86400 secondes de vie pour la journée.
Alors que ferez-vous de vos 86400 secondes quotidiennes ? 


Bon, vous avez compris que le sommeil était important, ne le négligez pas non plus d ans ces précieuses secondes !

Et, sans vouloir vous influencer, n’oubliez pas que nous sommes des êtres sociaux. Si vous avez eu la curiosité de visionner le reportage dont je me suis largement inspirée pour cet article, alors vous avez peut-être porté une attention particulière à l’intervention de Marc Schulz, psychologue à l’Université de Harvard, et à l’étude faite à Boston pour comprendre ce qui rend les gens heureux :

“Avec l’âge, on regrette les relations qu’on n’a pas eues ou qu’on a mal entretenues, et non d’avoir accumuler de l’argent ou des choses.”

Être en relation rend plus heureux et apporte une meilleure santé. Il est important de partager avec les gens qui comptent pour nous, ceux qui s’ancrent profondément dans notre mémoire et c’est ce qui nous rend heureux et dont on se nourrit toute sa vie…



Voilà ! Tellement à dire sur le temps ! Et je n’ai pas dit tout ce que j’avais à dire !!!

Et vous alors, il est comment votre rapport au temps ? Que faites-vous pour le rendre confortable et satisfaisant ? Comment envisagez-vous l’avenir ? Vous pouvez me l’écrire en commentaire !


Et n'oubliez pas, mes outils (PNL, hypnose...) peuvent vous aider ! On commence quand ?


Bon, allez, ce n’est pas tout ça, mais moi ce soir, je vois des amis !



Visitez mon site web : unegrainedevie.com



Références : Qu'est-ce que le temps ? Une énigme sans fin; 1h31; Réal. : Jens Monath; Auteurs : Jens Monath et Eike Schidt; diffusé le 23/05/2024 sur Arte

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